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Article publié le 09/08/2016
Mis à jour le 01/10/2020

Rio 2016 – Marc-Antoine Olivier 3e du 10 km en eau libre !

A 20 ans à peine, le denaisien a de l'ambition. Sous la houlette de Philippe Lucas, son entraîneur, le jeune nageur travaille sans relâche pour décrocher un podium à Rio. Pour cela, il pourra compter sur le soutien inconditionnel de ses parents qui lui donnent "l'énergie supplémentaire pour briller".


Marc-Antoine Olivier

  • Natation 10 km en eau libre
  • Né le 18 juin 1996, à Valenciennes
  • Club : Denain Natation Porte du Hainaut
  • Palmarès : double champion de France 2016, champion des États-Unis sur 5 km, médaille de bronze aux championnats d’Europe 2016 aux Pays-Bas

Mon meilleur souvenir de sportif

Mon titre lors des championnats d’Europe juniors 2012, en Turquie. C’est ma première grande victoire internationale.

Mon ambition pour Rio

Le podium, au minimum. L’épreuve du 10 km en eau libre met en compétition 25 nageurs. Neuf de mes concurrents et moi-même pouvons prétendre à une place dans le trio de tête.

Ma préparation

Avant la course, je me concentre en me répétant la stratégie mise en place avec mon entraîneur : je sais quand je dois suivre les autres, quand je dois accélérer, quand je dois attaquer. L’épreuve du 10 km en eau libre est un marathon, qui se joue aussi avant la course.

Mes modèles

L’ancien champion allemand des épreuves de nage en eau libre, Thomas Lurz. Il a été vice-champion olympique, a gagné 13 médailles lors de championnats du monde. Dans l’eau, il était très impressionnant.

Mon “déclic”

Mon arrivée au Pôle Espoirs de Rouen. C’est la référence en France pour les jeunes nageurs. C’était en 2012, j’avais 16 ans.

Mon objet fétiche

Je n’ai pas d’objet fétiche, j’ai mieux que ça : j’ai mes parents. Ils sont présents lors de toutes mes courses. À chaque compétition, ils m’encouragent et me donnent l’énergie supplémentaire pour briller.

Mon lieu de prédilection

Ma chambre, dans la maison de mes parents, dans le Nord. Quand je pousse la porte et que je m’allonge sur mon lit, je me dis : “Ça y est, je suis chez moi.”